Ga(r)y : Journal, pensées, foutoir et défouloir.

Nouvelle semaine.

Aujourd’hui j’ai super bien bossé au taf ! Je m’étais conditionné à avancer mes dossiers pour pouvoir déblayer le plus gros du travail. En fin de matinée on a reçu un mail de la chef nous rappelant nos objectifs et surtout les délais que l’on a tenir… Et franchement ça fait très juste… Bon, on va pas se mentir, si on ne remplit pas nos objectifs ça ne va pas faire grand chose ! Même rien !!!
Mais à titre personnel, j’ai envie de terminer mon travail dans les temps et mieux, j’aimerais être dans les premiers à terminer ma campagne. Ce serait top ! Si j’avance aussi vite qu’aujourd’hui. J’ai cinq gros budgets à boucler. Et j’en ai déjà bouclé un aujourd’hui. Demain, ce sera la même chose car je connais bien le dossier. Bon, le reste risque d’être un peu plus compliqué mais je dois maintenir le cap.

Hier soir j’avais un plan à trois de prévu. Un gars m’avait contacté vendredi soir. Il était de passage avec un pote. Je lui avais dit que je n’étais pas disponible dans l’immédiat mais seulement dimanche soir. Il a insisté. Il m’a demandé s’il pouvait m’appeler. J’ai accepté. On s’est mis d’accord sur ce que l’on voulait et il a confirmé. Je lui ai dit que si entre temps ils trouvaient autre chose ils n’avaient qu’à me prévenir. Il m’a dit : Je n’ai qu’une parole. Cependant, dimanche après-midi, aucun signe de vie… Et pareil pour le soir. Je peux concevoir que l’on ait autre chose à faire, que l’on oublie. Du vendredi au dimanche, c’est illusoire de penser qu’un plan puisse se faire !! ! J’en suis le premier convaincu. Mais putain, ça coute quoi de prévenir et d’inventer un bobard ?? ? Tout le monde fait ça. Mais le gars qui donne sa parole et qui n’est pas capable de la tenir ça me fout un peu boule.
Du coup, j’ai fait un plan merdique hier soir et un autre plan merdique en sortant du taf. Pfff, rien d’extraordinaire. Il faut dire que je n’y ai pas mis du mien non plus… J’ai été particulièrement minable… Je sais reconnaitre quand je suis nul. Et là, coup sur coup, j’ai été nul. Bon, c’est vrai que je n’ai pas la tête à ça en ce moment. Je ne suis pas particulièrement préoccupé mais pas la tête pour la bagatelle.

Allez, stop pour ce soir !

A demain !